La (ker)messe de Paul VI
La messe de Paul VI, entre autres innovations, modifie le canon de la messe, normalise la concélébration des prêtres et introduit la langue vernaculaire, toutes choses pourtant condamnées préalablement par le Magistère de l’Eglise.
Le pape Saint Pie X fit très justement remarquer que, chez les modernistes « Le facteur principal de l’évolution du culte est la nécessité d’adaptation aux coutumes et traditions populaires. » [1] Cette idée se retrouve également dans les textes du conciliabule de Vatican II qui stipulent, d’une part, que l’on doit admettre « des adaptations à la diversité des assemblées, des régions, des peuples […] lorsqu’on révisera les livres liturgiques », et, d’autre part, qu’il serait « bon d’avoir ce principe devant les yeux pour aménager la structure des rites », [2] car « il est urgent d’adapter plus profondément la liturgie. » [3]
Cette adaptation de la liturgie se manifeste par la volonté de Paul VI de faire en sorte que ces rites possèdent « une noble simplicité. » [4] Pour ce faire, il fallait, selon lui, que « le rituel de la messe », soit « révisé de telle sorte que se manifestent plus clairement le rôle propre ainsi que la connexion mutuelle de chacune de ses parties, et que soit facilitée la participation pieuse et active des fidèles. Ainsi, en gardant fidèlement la substance des rites, on les simplifiera », et« on omettra ce qui, au cours des âges, a été redoublé ou a été ajouté sans grande utilité. » [5] Cette modification voulue par Paul VI est justifiée par le fait que « soit dans la messe, soit dans l’administration des sacrements, soit dans les autres parties de la liturgie, l’emploi de la langue du pays peut être souvent très utile pour le peuple », et il est affirmé donc qu’il est possible, désormais, de « lui accorder une plus large place, surtout dans les lectures et les monitions, dans un certain nombre de prières et de chants. » [6]
Le problème, c’est que l’Église a toujours refusé d’accepter ce genre d’innovation. Le pape Pie IV a même décrété la chose suivante : « Si quelqu’un dit que l’usage de l’Eglise Romaine de prononcer à voix basse une partie du Canon et les paroles de la consécration doit être condamné, ou que la Messe ne doit être célébrée qu’en langue vulgaire, et qu’on ne doit point mêler l’eau avec le vain qui doit être offert dans le calice, parce que c’est contre l’institution de Jésus-Christ : qu’il soit anathème. » [7] Cette condamnation fut confirmée par le pape Pie VI qui déclarait en substance que l’opinion selon laquelle « l’ordonnance de la liturgie » devait être ramenée « à une plus grande simplicité des rites, en la célébrant en langue vulgaire et en la proférant à haute voix » était « offensante pour les oreilles pieuses », et « outrageante pour l’Église », car celle-ci « favorise les reproches des hérétiques à son sujet. » [8] Dans la continuité de l’enseignement de ses prédécesseurs, le pape Pie XII affirmait de même qu’il fallait « réprouver l’audace tout à fait téméraire de ceux qui, de propos délibéré, introduisent de nouvelles coutumes liturgiques », car « il en est, en effet, qui dans la célébration de l’auguste sacrifice eucharistique, se servent de la langue vulgaire ». [9] Or, comme le rappelait ce même souverain pontife, nul n’est censé ignorer que « l’emploi de la langue latine, en usage dans une grande partie de l’Église, est un signe d’unité manifeste et éclatant, et une protection efficace contre toute corruption de la doctrine originale. » [10]
Malheureusement, cela n’a pas empêché Paul VI d’annoncer qu’il « composera un nouveau rite de concélébration qui devra être inséré dans le pontifical et le missel romain », [11] car selon lui « Les formules du Missel romain devaient être révisées et enrichies » en vue « de l’adaptation du Missel romain aux besoins de notre époque. » [12]
Peu de temps après, Montini manifesta explicitement son désir de rendre cette réforme liturgique obligatoire : « L’adoption du Nouvel Ordo Missae n’est pas du tout laissée au libre arbitre des prêtres ou des fidèles. L’instruction du 14 juin 1971 a prévu la célébration de la Messe selon l’ancien rite, avec l’autorisation de l’ordinaire, uniquement pour des prêtres âgés ou malades qui offrent le sacrifice divin “sine populo“ [sans les gens]. Le nouvel Ordo a été promulgué pour être substitué à l’ancien, après une mûre réflexion, et à la suite des instances du Concile Vatican II. » [13] Toujours fidèle à l’état d’esprit de Paul VI, le faux pape François a récemment écrit que « Les livres liturgiques promulgués par Saint Paul VI et Saint Jean Paul II, en conformité avec les décrets du concile Vatican II, sont l’unique expression de la lex orandi du rite Romain. » [14] Et dernièrement – histoire de mettre les choses au clair – cet imposteur a également déclaré : « C’est pourquoi nous ne pouvons pas revenir à cette forme rituelle que les pères du concile [de Vatican II] […] ont senti la nécessité de réformer… » [15]
Ces déclarations témoignent clairement du véritable objectif des dirigeants de la secte conciliaire, lequel consiste non seulement à essayer de reléguer au second plan le rite Latin, mais aussi à tenter de le supprimer sur le long terme, ce qui est totalement contraire à la volonté du Saint-Siège.
Pape Saint Pie V : « Pour que tous accueillent partout et observent ce qui leur a été transmis par l’Église romaine, Mère et Maîtresse de toutes les autres Églises, et pour que par la suite et dans les temps à venir dans toutes les églises, patriarcales, cathédrales, collégiales et paroissiales de toutes les provinces de la Chrétienté […] on ne chante ou ne récite d’autres formules que celle conforme au Missel que Nous avons publié, même si ces églises ont obtenu une dispense quelconque, par un indult du Siège Apostolique, par le fait d’une coutume, d’un privilège ou même d’un serment, ou par une confirmation apostolique, ou sont dotées d’autres permissions quelconques ; à moins que depuis la première institution approuvée par le Siège Apostolique ou en vertu de la coutume, cette dernière ou l’institution elle-même aient été observées dans ces mêmes églises depuis deux cents ans au moins, d’une façon continue, pour la célébration des messes. Dans ce cas, Nous ne supprimons aucunement à ces églises leur institution ou coutume de célébrer la messe ; mais si ce Missel que Nous avons fait publier leur plaisait davantage, de l’avis de l’Évêque ou du Prélat, ou de l’ensemble du Chapitre, Nous permettons que, sans que quoi que ce soit y fasse obstacle, elles puissent célébrer la Messe suivant celui-ci. Par notre présente constitution qui est valable à perpétuité, nous avons décidé et nous ordonnons, sous peine de notre malédiction, que […] jamais rien ne soit ajouté, retranché ou modifié à notre missel que nous venons d’éditer. Nous avons décidé rigoureusement pour […] les Patriarches, les Administrateurs et pour toutes autres personnes revêtues de quelque dignité ecclésiastique, fussent-ils même Cardinaux de la Sainte Église Romaine ou aient tout autre grade ou prééminence quelconque, qu’ils devront, en vertu de la sainte obéissance […] chanter ou dire la Messe suivant le rite, la manière et la règle que Nous enseignons par ce Missel et qu’ils ne pourront se permettre d’ajouter, dans la célébration de la Messe, d’autres cérémonies ou de réciter d’autres prières que celles contenues dans ce Missel. Et même, par les dispositions présentes et au nom de notre autorité apostolique, nous concédons et accordons que ce même missel pourra être suivi en totalité dans la Messe chantée ou lue, dans quelque église que ce soit, sans aucun scrupule de conscience et sans recourir aucune punition, condamnation ou censure, et qu’on pourra valablement l’utiliser librement et licitement, et cela, à perpétuité. Et, d’une façon analogue, Nous avons décidé et déclarons que les supérieurs, administrateurs, chanoines, chapelains et autres prêtres de quelques nom qu’ils seront désignés, ou les religieux de n’importe quel ordre, ne peuvent être tenus de célébrer la Messe autrement que nous l’avons fixé, et que jamais et en aucun temps, qui que ce soit ne pourra les contraindre et les forcer à laisser ce missel ou à abroger la présente instruction ou la modifier, mais qu’elle demeurera toujours en vigueur et valide, dans toute sa force, nonobstant les décisions antérieures et les Constitutions et Ordonnances Apostoliques, et les Constitutions Générales ou spéciales émanant de Conciles Provinciaux et Généraux […]. Qu’absolument personne, donc, ne puisse déroger à cette page qui exprime notre permission, notre décisions, notre ordonnance, notre commandement, notre précepte, notre concession, notre indult, notre déclaration, notre décret et notre interdiction, ou n’ose aller témérairement à l’encontre de ces dispositions. Si cependant, quelqu’un se permettait une telle altération, qu’il sache qu’il encourrait l’indignation de Dieu tout puissant et de ses bienheureux apôtres Pierre et Paul. » [16]
En outre, selon l’aveu même de Paul VI, « L’innovation majeure » de cette nouvelle liturgie « porte sur ce que l’on appelle la prière eucharistique » laquelle avait principalement pour objectif « de rendre plus facile la concélébration. » [17]
Cette innovation fut jadis dénoncée par le pape Pie XII en ces termes : « Ils estiment que le sacrifice eucharistique est au sens propre une “concélébration“ et que les prêtres doivent “concélébrer“ avec le peuple présent, plutôt que d’offrir le sacrifice en particulier. Combien les erreurs captieuses de ce genre contredisent aux vérités que nous avons affirmées […] en traitant de la place que tient le prêtre dans le corps mystique du Christ. » [18] Et pour cause, car cette erreur contredit expressément la discipline de l’Église selon laquelle « Il n’est pas permis à plusieurs prêtres de concélébrer, sauf dans la messe d’ordination des prêtres et dans la messe de consécration des évêques en conformité avec le pontifical romain. » [19]
Mais ce qu’il y a de pire dans cette réforme liturgique, c’est que les mots “Mysterium Fidei“ ont été retirés de la prière eucharistique. En effet, « en chaque prière eucharistique » – décréta Paul VI – « on dira les paroles suivantes : Sur le pain : “Accipite et manducate ex hoc omnes : hoc est enim corpus, quod pro vobis tradetur.“ Sur le calice : “Accipite et bibite ex eo omnes : Hic est enim calix sanguinis mei novi et aeterni testamenti, qui pro vobis et pro multis effundetur in remissionem peccatorum. Hoc facite in meam commemorationem.“ L’expression “Mysterium fidei“, tirée du contexte des paroles du Christ Seigneur, et dite par le prêtre, sert d’introduction à l’acclamation des fidèles. » [20]
Ainsi, comme nous venons de le voir, la formule “Mysterium Fidei“ est effectivement absente des paroles de la consécration… Pour justifier cette altération du canon de la messe, Paul VI prétexta que cette “expression“ devait plutôt servir “d’introduction à l’acclamation des fidèles“. Pourtant, il est un fait notoire que cette hérésie liturgique a été formellement condamnée par notre Sainte Mère l’Église, laquelle n’a d’ailleurs jamais permis à qui que ce soit de modifier le canon de la Messe…
Pape Pie IV : « Si quelqu’un dit que le canon de la messe contient des erreurs et qu’il doit être abrogé : qu’il soit anathème. » [21]
Pape Saint Pie V : « Ainsi, les paroles de la consécration, qui sont la forme de ce sacrement sont : “Hoc est enim corpus meum, et hic enim calix sanguinis mei, novi et aeterni testamenti, Mysterium Fidei, qui pro vobis et pro multis effundetur in remissionem peccatorum. “ Si le prêtre abrège ou change la forme de la consécration du corps et du sang, de telle façon que cette altération dans la formulation des paroles ne signifiât pas la même chose, il ne confère pas le sacrement. Si, d’un autre côté, le prêtre ajoute ou retranche quoi que ce soit qui ne changerait pas le sens de la formule, le sacrement est valide, mais le prêtre commettrait un grave péché. » [22]
Décret du Saint Office sur la consécration du calice (24 Juillet 1958) : « Cette suprême congrégation a appris que dans une certaine traduction du nouvel ordo de la semaine sainte en langue vernaculaire, les mots “mysterium fidei“ dans la forme de la consécration du calice, sont omis. Il a également été rapporté que certains prêtres omettent ces mots dans la célébration de la sainte messe. Ainsi, cette suprême congrégation prévient qu’il est impie d’introduire un changement concernant une matière si sacrée, et de mutiler ou d’altérer les éditions des livres liturgiques. »
Mgr Michel-Louis Guérard des Lauriers : « Combien de fois avons-nous entendu, en ces années “conciliaires” : “On introduit une modification sans importance ; mais le Canon et la Consécration, on n’y touchera jamais !” On connaissait le refrain ; on n’y croyait pas trop, et on n’osait pas ne pas y croire. Enfin, ce 3 avril 1969, ce fut la terrifiante réalité. La Messe était atteinte en plein cœur. Il fallait résister. J’ai cessé de nommer Paul VI “una cum Ecclesia tua sancta catholicá”. » [23]
Notre Seigneur a dit : « tout mauvais arbre produit de mauvais fruits. » (Matthieu 7 ; 17). Dès lors, une seule question se pose : quelle est la véritable nature des fruits du Novus Ordo Missae.
Paul VI : « Pour promouvoir la participation active, on favorisera les acclamations du peuple, les réponses, le chant des psaumes, les antiennes, les cantiques et aussi les actions ou gestes et les attitudes corporelles. » [24]
Saint Jean Chrysostome disait : « entre la synagogue et le théâtre, il n’y a pas de différence. » [26] Mais si ce saint homme avait vécu à notre époque, que dirait-il de nos églises ?
Pape Eugène IV : « Dans certaines églises, à l’occasion de certaines festivités au cours de l’année, se tiennent diverses pratiques scandaleuses. Certains y organisent des comédies masquées ou théâtrales, d’autres y organisent des danses pour hommes et femmes, invitant les gens à l’amusement et à la bouffonnerie. D’autres y préparent des banquets. Ce saint synode tient ces abus en détestation. Il interdit aux ordinaires, aussi bien qu’aux diacres et recteurs des églises, sous peine de privation de tout revenu ecclésiastique pendant trois mois, d’autoriser ces sortes de frivolités, […] dans les églises, qui sont des maisons de prières. […] Ils doivent punir les transgresseurs par des censures ecclésiastiques et par d’autres sanctions juridiques. Ce saint synode décrète que toute coutume […] qui n’est pas en conformité avec ces décrets, est vain, sauf s’il ajoute de plus fortes condamnations. » [27]
Mgr Moïsés Carmona Rivera : « Il existe neufs rites reconnus par l’Église catholique : le Latin, le Byzantin, l’Arménien, le Chaldéen, le Copte, l’Éthiopien, le Malabar, le Maronite, et le Syrien ; mais aucun de ces rites n’a été inventé par Saint Pie V. Il n’y a jamais eu aucune “Messe de Saint Pie V“ ni même de “Messe Tridentine“. La seule chose qui a existé, c’est la Messe Catholique. Ce qui a été fait au concile de Trente n’a pas été d’inventer un “Novus Ordo Missae“ – comme à Vatican II – mais seulement de codifier le Missel de la Curie Romaine, déjà utilisé à Rome bien des siècles auparavant, et dont le canon remonte au Saint Apôtre Pierre lui-même.Cette Messe catholique a été célébrée pendant presque toute la vie de l’Église, et avec cette Messe, des millions d’âmes ont été sanctifiées. Comment donc se fait-il qu’ils aient échangé une Messe si digne de vénération et de respect pour une Messe d’impiété et de bouffonnerie ? » [28]
[1] Encyclique Pasendi Dominici Gregis (8 Septembre 1907), § 34.
[2] 3ème session de Vatican II (4 Décembre 1963), Constitution Sacrosanctum Concilium, Chapitre I, § 38.
[3] 3ème session de Vatican II (4 Décembre 1963), Constitution Sacrosanctum Concilium, Chapitre I, § 40.
[4] 3ème session de Vatican II (4 Décembre 1963), Constitution Sacrosanctum Concilium, Chapitre I, § 34.
[5] 3ème session de Vatican II (4 Décembre 1963), Constitution Sacrosanctum Concilium, Chapitre II, § 50.
[6] 3ème session de Vatican II (4 Décembre 1963), Constitution Sacrosanctum Concilium, Chapitre I, § 36.
[7] 22ème session du concile de Trente (17 Septembre 1562), Décret sur le saint sacrifice de la messe, canon 9.
[8] Constitution Auctorem Fidei (28 Août 1794), Erreurs du synode de Pistoie, proposition 33.
[9] Encyclique Mediator Dei (20 Novembre 1947).
[10] Encyclique Mediator Dei (20 Novembre 1947).
[11] 3ème session de Vatican II (4 Décembre 1963), Constitution Sacrosanctum Concilium, Chapitre II, § 58.
[12] Constitution Apostolique Missale Romanum (3 Avril 1969).
[13] Discours au consistoire (24 Mai 1976).
[14] “Motu proprio“ Traditionis Custodes (16 Juillet 2021), Article 1.
[15] “Lettre Apostolique“ Desiderio Desideravi (29 Juin 2022), § 61.
[16] Bulle Quo Primum Tempore (14 Juillet 1570).
[17] Constitution apostolique Missale Romarum (3 Avril 1969).
[18] Encyclique Mediator Dei (20 Novembre 1947), Chapitre II.
[19] Code de droit canonique de 1917, Livre III, Partie I, Titre III, Canon 808.
[20] Constitution apostolique Missale Romarum (3 Avril 1969).
[21] 22ème session du concile de Trente (17 Septembre 1562), Décret sur le très saint sacrifice de la Messe, Can. 6.
[22] Bulle De Defectibus (14 Juillet 1570), Chapitre V, § 20.
[23] Lettre au directeur de la revue Einsicht (19 Décembre 1979).
[24] 3ème session de Vatican II (4 Décembre 1963), Constitution Sacrosanctum Concilium, Chapitre I, § 30.
[25] Cette profanation a eu lieu le 24 Octobre 2020, avec la “bénédiction“ du prétendu “chanoine“ Marcos William Bernardo. Il s’agissait d’une cérémonie consacrée au culte de la déesse Krishna et à la mythologie Hindou. Cet événement a été organisé avec le soutien de la commission inter-religieuse “diálogo e paz“. Cette commission a été fondée par Orani João Tempela (un pseudo-cardinal occupant actuellement l’Archidiocèse de Saint Sébastien de Rio de Janeiro). À ce jour, aucune sanction disciplinaire n’a été prononcée contre les responsables de ce scandale ; et ce, malgré la vive protestation de plus de 4000 “conciliaires“ – assez naïfs, mais probablement de bonne foi – qui ont pris l’initiative d’adresser une pétition à ce soi-disant “cardinal“, dans l’espoir d’obtenir un jour la réparation de cet horrible sacrilège.
[26] Discours contre les juifs, § 2.
[27] 21ème session du concile de Bale (9 Juin 1435).
[28] Lettre à “l’archevêque“ d’Hermosillo, “Mgr“ D. Carlos Quintero Arce (29 Avril 1983).